impression

BAROMÈTRE DE L'IMMOBILIER - Avril 2021

16/04/2021

Cette année encore, les volumes ont été très élevés malgré le contexte sanitaire.
L’érosion que nous constatons par rapport à 2020 est essentiellement due à un déficit d’offres, notamment sur le littoral et dans les agglomérations.

Un marché sous tension

La pression de la demande a des conséquences sur les prix qui s’envolent, en parti-culier dans les métropoles de Rennes, Nantes ou Brest comme sur le littoral où il n’est pas rare de constater des hausses supérieures à 10 voire 15%. Des acquéreurs se décident très rapidement, ils peuvent même se positionner sur des biens à distance. Même si ce compor-tement reste marginal, le délai de rétractation leur donnant la possibilité de revenir sur leur offre si, une fois visité, le bien ne leur convient plus.

De nouveaux critères de recherche

La crise de la COVID a renforcé, s’il en était besoin, la valeur refuge de la pierre. Suite au confinement, les critères de recherche ont évolué. Les acquéreurs recherchent de l’espace à l’intérieur comme à l’extérieur. De même, la performance des réseaux de télécommunication est désormais un critère phare.

Une pièce en plus pour les franciliens 

On constate une légère augmentation de la part des acquéreurs franciliens en 2020. En un an : +7% d’acquéreurs pour les maisons et -9% pour les appartements. Leur budget est également plus conséquent que celui des locaux. Pour les prochains mois, l’incertitude domine même si, le printemps, comme chaque année, devrait être propice à de nouvelles mises en vente et donc, une offre renouvelée.

Autres articles